jeudi 30 janvier 2014

Consommez des poissons issus de la pêche durable!

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"La pêche durable signifie que les produits sont pêchés ou cultivés de manière à maintenir ou accroitre la production à long terme, sans mettre en péril la santé ou la fonction de la vie marine dans nos océans" - Fondation David Suzuki

Quels poissons acheter à l'épicerie?

Thon
Germon, Listao ou bonite à ventre rayé, à nageoires jaunes (Yellowfin), Tonggol

Thon en conserve
Excellent choix : Raincoast Trading, Wild Planet, Safeway,
Bons choix : GoldSeal, Sélection (Metro), Western Family, Le choix du Président (Loblaw), Pastene, Ocean's, Compliments (Sobey's)

Saumon
sauvage d'Alaska, sauvage du Pacifique

Quels poissons doit-on éviter?

Thon rouge, Aiglefin, Bar du Chili, Carbe Royal, crevette tropicale, espadon, flétan de l'Atlantique, Flétan du Groenland, goberge de l'Alaska, Hoki de la Nouvelle-Zélande, Hoplostète orange, lotte, Mactre de Stimpson, Merlu, morue de l'Atlantique, raies de pocheteaux, requin, saumon d'élevage de l'Atlantique, saumon rouge (sockeye) du fleuve Fraser, thon rouge, obèse et albacore, vivaneau

Thon en conserve à éviter
Clover Leaf, Great Value (Walmart), Unico, Rio Mare

Pour de plus amples informations sur le sujet consultez les sites Internet des organismes suivants : Seafood Watch, SeaChoice.org, Ocean Wise, Fourchette bleue, Marine Stewardship Council.

Source : Nutrium
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jeudi 23 janvier 2014

Consommer des ferments lactiques renforce le système immunitaire

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Vous attrapez toujours un rhum ou deux à chaque hiver. Intégrer les probiotiques dans votre alimentation constitue une solution efficace pour renforcer votre système immunitaire. Soixante dix pourcent des cellules immunitaires sont dans l’intestin. Prendre soin de son système digestif, c’est renforcer son système immunitaire. Cela passe par la consommation de ferments lactiques qui sont des bonnes bactéries, très présentes dans les produits laitiers. Les ferments lactiques fermentent le lait pour obtenir du yaourt (yogourt) ou du fromage blanc, d’où l’aspect solide de ces produits.  Parmi toutes ces bonnes bactéries, ils existent certaines espèces qui participent au renforcement de notre système immunitaire et de nos défenses naturelles : c’est le cas de Lactobactillus Casei Defensis. Cette bonne bactérie va stimuler les cellules immunitaires naturelles de l’intestin.

 Pour assurer aux bonnes bactéries le passage entre les mailles de notre système digestif (acides de l’estomac, enzymes de l’intestin grêle) et d’agir efficacement (à l’instar des aliments, ces bonnes bactéries sont éliminées par le corps),  il faut en manger régulièrement plusieurs milliards. Ce nombre peut paraître improbable, mais il faut savoir que certains produits laitiers contiennent, à l’unité, cette forte concentration en bonnes bactéries (ex. Activia, Danone)

Source : Passeport Santé
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Les aliments qui nous protègent conseillés par la science!

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Freiner le vieillissement : grenade, raisin, bleuet, tomate, artichaut, huile d'olive, thé vert, légumes de couleur jaune, orange et rouge.
 
Réduire son risque de diabète : fraise, huile d'olive, légumineuses, céréales entières, cannelle, poivre noire, thym.
 
Doper son système immunitaire : ail, oignon, ciboulette, échalote, tous les fruits et les légumes, agrumes (citron, orange, lime), algues.
 
Renforcer ses os : algues, légumes verts, persil.
 
Maîtriser son cholestérol : poissons gras (sardine, saumon, maquereau, hareng), ail, oignon, échalote, noix, huile d'olive, vin rouge, avocat, brocoli.
 
Prévenir le cancer du sein : graines de lin, bleuet, chou, brocoli, curcuma, huile d'olive, persil, thé vert.
 
Combattre le stress oxydatif : épinard, chou, brocoli, thé vert, huile d'olive, céréales entières, chocolat noir, raisin, bleuet, fraise, persil, carotte.
 
Protéger son cœur : chocolat noir, huile d'olive, noix, noisette, thé vert, céréales entières, ail, vin rouge, poissons gras, épinard, chou, légumes verts.
 
Éviter la maladie d'Alzheimer : vin rouge, thé vert, curcuma, petits fruits, grenade, poissons gras, huile d'olive.
 
Se prémunir contre le cancer du colon : petits fruits, épinard, ail, oignon, curcuma.
 
Échapper à la dépression : noix, noisette, châtaigne d'eau, noix de pécan, poissons gras.
 
Bloquer le cancer de la prostate : thé vert, vin rouge, céréales entières, légumineuses, noix, chou, brocoli, épinard, tomate.
 
Ménager son estomac et ses intestins : brocoli, épinard, ail oignon, poireau, ciboulette, échalote.
 
Se prémunir contre le cancer de la bouche : curcuma, avocat, tomate, haricot, pois, carotte, aubergine, poivron, oignon, ail, radis.
 
Préserver sa santé oculaire : citrouille, fruits et légumes de couleur orange, petits fruits, poissons gras, germe de blé.
 
Réduire les symptômes de la ménopause : riz, légumes à feuilles (épinard...), noix, graines de lin, poissons gras, viandes maigres.
 
Conserver son capital musculaire : poissons gras, légumineuses.
 
Entretenir sa circulation sanguine : pomme et petits fruits.
 
Stimuler sa mémoire : amande, noix, noisette, châtaigne d'eau, noix de pécan, légumes à feuilles (épinard, laitue, cresson...), fruits de mer, poissons gras, légumineuses, quinoa, curcuma.
 
Lutter contre la fatigue : fruits rouges, légumes à feuilles (épinard, laitue, cresson...), noix, thym, persil.
 
En résumé, diminuez les risques de développer des problèmes de santé en intégrant à tous les jours à votre alimentation certains de ces aliments : légumes et fruits, légumineuses, poissons gras, noix, épinard, brocoli, tomate, curcuma, oignon, ail, céréales entières, huile d'olive, chou, thé vert, vin rouge.

Source : Le Point
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lundi 20 janvier 2014

Pourquoi mangeons-nous trop?

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Qu’est-ce qui nous pousse à manger au-delà de notre faim, même quand nous n’avons pas faim?
 
Selon le médecin américain David Kessler, la combinaison de deux ou trois des ingrédients suivants dans un aliment, le sucre, le gras ou le sel, provoque une grande stimulation cérébrale, un peu comme le font certaines drogues.
 
« C’est parce que c’est bon » est la réponse que j’entends le plus souvent quand je demande « pourquoi mangez-vous trop? ». Je n’entends pas de réponses rationnelles telles que : « c’est parce que je n’écoute pas mes signaux de faim et satiété », « c’est parce que je comble mon vide par la nourriture », « c’est parce que certains aliments me procurent tellement de plaisir que je ne suis pas capable d’arrêter », « c’est parce que ça calme mon stress ».
 
Bien que ces raisons peuvent expliquer l’habitude ancrée de manger trop, la réponse la plus spontanée et la plus courante est toujours : « c’est bon, manger ». Derrière cette affirmation, il y a ce plaisir associé à l’instinct naturel de survie qui est en nous et qui nous dicte de manger quand la nourriture est accessible, d’où la grande difficulté à ne pas finir son assiette, même si on n’a plus faim.
De nos jours, ce grand plaisir de manger a ceci de particulier qu’il peut se réaliser sans effort, parce que plusieurs aliments sont déjà prêts à manger sans qu’il soit nécessaire de les cuisiner. Le défi est donc de garder le plaisir de manger en programmant autrement notre instinct de survie qui est toujours présent parce qu’il fait partie intégrante de la nature humaine.
 
Des solutions?
En consultation privée, j’utilise un outil (développé par le groupe ÉquiLibre) qui permet à la personne en surpoids de se poser une série de questions avant de manger, afin d’évaluer si c’est justifier et pertinent de le faire à ce moment et de voir si certains états émotionnels ou facteurs extérieurs ont pu stimuler ce besoin de manger.
 
À force de se poser différentes questions, je pense qu’il est possible d’en arriver à se programmer à manger uniquement pour des besoins physiologiques de faim plutôt que d’être une marionnette qui se laisse manipuler par ses émotions, en plus de subir l’influence des publicités incitatives, des gens qui l’entourent, des occasions de toutes sortes, des heures de repas variables, etc. Je suis aussi d’accord avec ceux qui préconisent la règlementation pour bannir ou tout au moins diminuer les incitations publicitaires à la malbouffe.
 
Je pense que nous mangeons trop parce que notre alimentation est souvent mal équilibrée et comprend des aliments qui ne sont pas assez complets et nutritifs. Un sandwich au pain blanc avec jambon accompagné d’un jus de fruits et de quelques biscuits ne peut pas nous donner beaucoup d’énergie et nous soutenir longtemps. Rééquilibrer son alimentation et choisir en grande partie des aliments sains et complets ne peut que diminuer notre attirance vers la malbouffe et notre propension à trop manger.
 
Quant à associer des images malsaines à la malbouffe, tel que proposé par le Dr Kessler (par exemple, imaginer une poutine remplie de poils de chat ou associer la poutine à des artères bouchées), j’apporte un bémol, car ça peut être une arme à deux tranchants. Une telle approche peut effectivement réduire le goût de manger ces aliments tout comme elle peut augmenter leur pouvoir d’attraction causé par l’interdiction d’en consommer. À mon avis, les recherches doivent être poursuivies et approfondies en ce qui concerne ce genre de déprogrammation collective.
La cause de la suralimentation est multifactorielle. Je crois que toute approche unidimensionnelle est à éviter. Différentes stratégies devront être étudiées et mises en place pour réduire la pandémie d’obésité mondiale.

Source : Passeport Santé, Hélène Baribeau
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