mercredi 26 février 2014

La pomme permet de contrôler sans poids corporel!

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La pomme est le fruit-santé par excellence. Ses pectines sont reconnues pour réguler le transit intestinal mais elles sont également utilisées dans les compléments alimentaires, comme "coupe-faim".
 
La pomme, aliment santé par excellence
 

Comment agissent les pectines ?

 
L’activité coupe-faim de la pomme est liée à sa teneur en pectines, des fibres alimentaires végétales. Une fois ingérées, ces fibres sont capables d’absorber de grandes quantités d’eau pour former un gel visqueux qui permet d’augmenter le volume du bol alimentaire (aliments mâchés mêlés à la salive), de réduire l’activité des enzymes digestives et donc de diminuer la sensation de faim.  Deux études chez les rats ont permis de constater que l’association des pectines et des polyphénols de pommes diminuait le taux de triglycérides sanguins et exerçait une activité anti-obésité.
 

Comment consommer la pomme pour favoriser la perte de poids ?

 
Il n'y a pas de recommandation sur la consommation de pommes, mais en consommer 1 à 2 à tous les jours semble être bénéfique pour la gestion de son poids. La pectine peut également être prise sous forme de suppléments avant chaque repas et avec beaucoup d'eau, mais l'idéal est de profiter du bon goût de la pomme!

Source : Passeport Santé
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mardi 25 février 2014

Bien vieillir : comment éviter la prise de poids ?

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La prise de poids n’est pas une fatalité. Vous pouvez l’éviter ou la limiter en vous fixant des objectifs réalisables et surtout en adoptant une bonne hygiène de vie avec comme clé de voûte une alimentation équilibrée, variée et diversifiée. C’est important et indispensable!

Retenons les axes principaux :
 
1. Augmentez  votre  consommation de fruits et légumes (crus, cuits, frais, surgelés natures, en conserves) mais aussi de légumes secs pour l’apport en vitamines et minéraux mais aussi en fibres, excellentes régulatrices des constantes sanguines et indispensables à un bon transit intestinal.

2. Consommez du lait et des produits laitiers à chaque repas pour leur apport en calcium afin de limiter la perte osseuse, en protéines animales pour réguler l’appétit et lutter contre la fonte musculaire.

3. Les viandes maigres et les volailles auront votre préférence, à raison d’une à deux fois par jour. Ces aliments riches en protéines limite la fonte musculaire.

4. Les poissons gras (saumon, maquereau, sardine…) seront invités 2 à 3 fois par semaine à votre table (pour leur apport en oméga 3, idéal comme antistress). Ce sont également d’excellents pourvoyeurs de protéines.

5. Augmentez la consommation des corps gras insaturés comme les huiles au détriment des corps gras  saturés comme le beurre pour permettre d’augmenter le « bon cholestérol » et par conséquent de diminuer le « mauvais cholestérol » ; cependant, il n’est absolument pas souhaitable de supprimer les graisses, elles sont indispensables au bon fonctionnement de votre organisme.

6. Choisissez des huiles végétales riches en acides gras essentiels (oméga-3) comme l’huile de canola, de maïs, de tournesol...

7. Évitez les aliments trop riches en graisses comme les viandes grasses (côtes levées de bœuf, viandes rouges, les charcuteries, les plats tout prêts du commerce, les aliments frits, les pâtisseries industrielles…)

8. Ne supprimez pas le sucre et les produits sucrés car vous risquez de vous sentir frustrés et d’engendrer alors une consommation anarchique de ces aliments ; diminuez simplement les quantités consommées pour ne pas sacrifier le plaisir gourmand.

9. Augmentez la ration de vitamine D car la perte musculaire s’accompagne d’une perte osseuse ce qui accentue la baisse du métabolisme basal ; pour vous y aider, pensez aux produits laitiers, poissons gras, aux œufs, à la margarine...

10. Pensez à boire régulièrement de l’eau, seule boisson indispensable ; autre alternative : le lait, le thé, les tisanes.

11. Modérez la consommation de boissons alcoolisées car l’alcool augmente la perte du calcium surtout chez la femme ménopausée et n’apporte rien d’essentiel sur le plan nutritionnel mis à part les antioxydants pour le vin rouge. Un seul mot d’ordre : modération!

12. Ne sautez pas de repas car vous risquez de vous tournez vers des aliments gras et sucrés pour compenser les petites faims ; il est même envisageable de prévoir des collations pour les petits creux mais contrôlées et non anarchiques.

13. Apprenez à écouter votre corps, à repérer le moment où vous êtes rassasié car votre corps sait parfaitement ce dont il a besoin.

Source : Passeport Santé
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jeudi 30 janvier 2014

Consommez des poissons issus de la pêche durable!

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"La pêche durable signifie que les produits sont pêchés ou cultivés de manière à maintenir ou accroitre la production à long terme, sans mettre en péril la santé ou la fonction de la vie marine dans nos océans" - Fondation David Suzuki

Quels poissons acheter à l'épicerie?

Thon
Germon, Listao ou bonite à ventre rayé, à nageoires jaunes (Yellowfin), Tonggol

Thon en conserve
Excellent choix : Raincoast Trading, Wild Planet, Safeway,
Bons choix : GoldSeal, Sélection (Metro), Western Family, Le choix du Président (Loblaw), Pastene, Ocean's, Compliments (Sobey's)

Saumon
sauvage d'Alaska, sauvage du Pacifique

Quels poissons doit-on éviter?

Thon rouge, Aiglefin, Bar du Chili, Carbe Royal, crevette tropicale, espadon, flétan de l'Atlantique, Flétan du Groenland, goberge de l'Alaska, Hoki de la Nouvelle-Zélande, Hoplostète orange, lotte, Mactre de Stimpson, Merlu, morue de l'Atlantique, raies de pocheteaux, requin, saumon d'élevage de l'Atlantique, saumon rouge (sockeye) du fleuve Fraser, thon rouge, obèse et albacore, vivaneau

Thon en conserve à éviter
Clover Leaf, Great Value (Walmart), Unico, Rio Mare

Pour de plus amples informations sur le sujet consultez les sites Internet des organismes suivants : Seafood Watch, SeaChoice.org, Ocean Wise, Fourchette bleue, Marine Stewardship Council.

Source : Nutrium
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jeudi 23 janvier 2014

Consommer des ferments lactiques renforce le système immunitaire

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Vous attrapez toujours un rhum ou deux à chaque hiver. Intégrer les probiotiques dans votre alimentation constitue une solution efficace pour renforcer votre système immunitaire. Soixante dix pourcent des cellules immunitaires sont dans l’intestin. Prendre soin de son système digestif, c’est renforcer son système immunitaire. Cela passe par la consommation de ferments lactiques qui sont des bonnes bactéries, très présentes dans les produits laitiers. Les ferments lactiques fermentent le lait pour obtenir du yaourt (yogourt) ou du fromage blanc, d’où l’aspect solide de ces produits.  Parmi toutes ces bonnes bactéries, ils existent certaines espèces qui participent au renforcement de notre système immunitaire et de nos défenses naturelles : c’est le cas de Lactobactillus Casei Defensis. Cette bonne bactérie va stimuler les cellules immunitaires naturelles de l’intestin.

 Pour assurer aux bonnes bactéries le passage entre les mailles de notre système digestif (acides de l’estomac, enzymes de l’intestin grêle) et d’agir efficacement (à l’instar des aliments, ces bonnes bactéries sont éliminées par le corps),  il faut en manger régulièrement plusieurs milliards. Ce nombre peut paraître improbable, mais il faut savoir que certains produits laitiers contiennent, à l’unité, cette forte concentration en bonnes bactéries (ex. Activia, Danone)

Source : Passeport Santé
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Les aliments qui nous protègent conseillés par la science!

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Freiner le vieillissement : grenade, raisin, bleuet, tomate, artichaut, huile d'olive, thé vert, légumes de couleur jaune, orange et rouge.
 
Réduire son risque de diabète : fraise, huile d'olive, légumineuses, céréales entières, cannelle, poivre noire, thym.
 
Doper son système immunitaire : ail, oignon, ciboulette, échalote, tous les fruits et les légumes, agrumes (citron, orange, lime), algues.
 
Renforcer ses os : algues, légumes verts, persil.
 
Maîtriser son cholestérol : poissons gras (sardine, saumon, maquereau, hareng), ail, oignon, échalote, noix, huile d'olive, vin rouge, avocat, brocoli.
 
Prévenir le cancer du sein : graines de lin, bleuet, chou, brocoli, curcuma, huile d'olive, persil, thé vert.
 
Combattre le stress oxydatif : épinard, chou, brocoli, thé vert, huile d'olive, céréales entières, chocolat noir, raisin, bleuet, fraise, persil, carotte.
 
Protéger son cœur : chocolat noir, huile d'olive, noix, noisette, thé vert, céréales entières, ail, vin rouge, poissons gras, épinard, chou, légumes verts.
 
Éviter la maladie d'Alzheimer : vin rouge, thé vert, curcuma, petits fruits, grenade, poissons gras, huile d'olive.
 
Se prémunir contre le cancer du colon : petits fruits, épinard, ail, oignon, curcuma.
 
Échapper à la dépression : noix, noisette, châtaigne d'eau, noix de pécan, poissons gras.
 
Bloquer le cancer de la prostate : thé vert, vin rouge, céréales entières, légumineuses, noix, chou, brocoli, épinard, tomate.
 
Ménager son estomac et ses intestins : brocoli, épinard, ail oignon, poireau, ciboulette, échalote.
 
Se prémunir contre le cancer de la bouche : curcuma, avocat, tomate, haricot, pois, carotte, aubergine, poivron, oignon, ail, radis.
 
Préserver sa santé oculaire : citrouille, fruits et légumes de couleur orange, petits fruits, poissons gras, germe de blé.
 
Réduire les symptômes de la ménopause : riz, légumes à feuilles (épinard...), noix, graines de lin, poissons gras, viandes maigres.
 
Conserver son capital musculaire : poissons gras, légumineuses.
 
Entretenir sa circulation sanguine : pomme et petits fruits.
 
Stimuler sa mémoire : amande, noix, noisette, châtaigne d'eau, noix de pécan, légumes à feuilles (épinard, laitue, cresson...), fruits de mer, poissons gras, légumineuses, quinoa, curcuma.
 
Lutter contre la fatigue : fruits rouges, légumes à feuilles (épinard, laitue, cresson...), noix, thym, persil.
 
En résumé, diminuez les risques de développer des problèmes de santé en intégrant à tous les jours à votre alimentation certains de ces aliments : légumes et fruits, légumineuses, poissons gras, noix, épinard, brocoli, tomate, curcuma, oignon, ail, céréales entières, huile d'olive, chou, thé vert, vin rouge.

Source : Le Point
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lundi 20 janvier 2014

Pourquoi mangeons-nous trop?

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Qu’est-ce qui nous pousse à manger au-delà de notre faim, même quand nous n’avons pas faim?
 
Selon le médecin américain David Kessler, la combinaison de deux ou trois des ingrédients suivants dans un aliment, le sucre, le gras ou le sel, provoque une grande stimulation cérébrale, un peu comme le font certaines drogues.
 
« C’est parce que c’est bon » est la réponse que j’entends le plus souvent quand je demande « pourquoi mangez-vous trop? ». Je n’entends pas de réponses rationnelles telles que : « c’est parce que je n’écoute pas mes signaux de faim et satiété », « c’est parce que je comble mon vide par la nourriture », « c’est parce que certains aliments me procurent tellement de plaisir que je ne suis pas capable d’arrêter », « c’est parce que ça calme mon stress ».
 
Bien que ces raisons peuvent expliquer l’habitude ancrée de manger trop, la réponse la plus spontanée et la plus courante est toujours : « c’est bon, manger ». Derrière cette affirmation, il y a ce plaisir associé à l’instinct naturel de survie qui est en nous et qui nous dicte de manger quand la nourriture est accessible, d’où la grande difficulté à ne pas finir son assiette, même si on n’a plus faim.
De nos jours, ce grand plaisir de manger a ceci de particulier qu’il peut se réaliser sans effort, parce que plusieurs aliments sont déjà prêts à manger sans qu’il soit nécessaire de les cuisiner. Le défi est donc de garder le plaisir de manger en programmant autrement notre instinct de survie qui est toujours présent parce qu’il fait partie intégrante de la nature humaine.
 
Des solutions?
En consultation privée, j’utilise un outil (développé par le groupe ÉquiLibre) qui permet à la personne en surpoids de se poser une série de questions avant de manger, afin d’évaluer si c’est justifier et pertinent de le faire à ce moment et de voir si certains états émotionnels ou facteurs extérieurs ont pu stimuler ce besoin de manger.
 
À force de se poser différentes questions, je pense qu’il est possible d’en arriver à se programmer à manger uniquement pour des besoins physiologiques de faim plutôt que d’être une marionnette qui se laisse manipuler par ses émotions, en plus de subir l’influence des publicités incitatives, des gens qui l’entourent, des occasions de toutes sortes, des heures de repas variables, etc. Je suis aussi d’accord avec ceux qui préconisent la règlementation pour bannir ou tout au moins diminuer les incitations publicitaires à la malbouffe.
 
Je pense que nous mangeons trop parce que notre alimentation est souvent mal équilibrée et comprend des aliments qui ne sont pas assez complets et nutritifs. Un sandwich au pain blanc avec jambon accompagné d’un jus de fruits et de quelques biscuits ne peut pas nous donner beaucoup d’énergie et nous soutenir longtemps. Rééquilibrer son alimentation et choisir en grande partie des aliments sains et complets ne peut que diminuer notre attirance vers la malbouffe et notre propension à trop manger.
 
Quant à associer des images malsaines à la malbouffe, tel que proposé par le Dr Kessler (par exemple, imaginer une poutine remplie de poils de chat ou associer la poutine à des artères bouchées), j’apporte un bémol, car ça peut être une arme à deux tranchants. Une telle approche peut effectivement réduire le goût de manger ces aliments tout comme elle peut augmenter leur pouvoir d’attraction causé par l’interdiction d’en consommer. À mon avis, les recherches doivent être poursuivies et approfondies en ce qui concerne ce genre de déprogrammation collective.
La cause de la suralimentation est multifactorielle. Je crois que toute approche unidimensionnelle est à éviter. Différentes stratégies devront être étudiées et mises en place pour réduire la pandémie d’obésité mondiale.

Source : Passeport Santé, Hélène Baribeau
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samedi 1 juin 2013

Les féculents font-ils prendre du poids?

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Au fil de mes consultations, je réalise que plusieurs personnes croient que les féculents font grossir. Une croyance qui s’est grandement répandue avec deux régimes connus. Celui de Montignac qui supprime les aliments riches en glucides et à indice glycémique élevé comme le pain, les pâtes fraîches et les pommes de terre et le régime des « 4P » qui exclut le pain, les pâtes, les pommes de terre et les pâtisseries. L’exclusion de ces aliments entraine en effet une perte de poids, mais celle-ci est généralement due à un déficit en calories.  Pour une même portion, un féculent n’apporte pas plus de calories qu’un fruit ou un produit laitier, mais le problème avec les féculents c’est qu’ils sont souvent au mauvais endroit au mauvais moment : pâtes accompagnées de pain, grignotage de pain avant le repas. Il faut plutôt faire attention à la portion consommée et à la garniture souvent grasse qui vient avec ces aliments comme le pain tartiné de beurre ou les pâtes crémeuses.

Bannir les féculents peut avoir d’importantes conséquences sur la santé. Tout d’abord, ils apportent une variété de nutriments importants pour la santé. Les éviter peut donc causer des déficiences en fibres, vitamines du groupe B, fer, zinc, magnésium et potassium. De plus, les glucides qu’ils contiennent constituent la principale source d’énergie du corps. Le cerveau  a besoin de 120g de glucose par jour pour bien fonctionner. Un manque entraine notamment une baisse d’énergie et de l’irritabilité. Aussi, lors d’un exercice, les glucides sont la principale source de carburant pour les muscles et un manque diminue considérablement les performances.

Finalement, les glucides « complexes » comme ceux des féculents permettent la sécrétion de sérotonine par l’organisme. La sérotonine est appelée le neurotransmetteur du bien-être! Les personnes excluant les produits céréaliers auraient donc tendance à se sentir plus déprimées.

Pour une santé optimale, il est donc important d’inclure des féculents à chaque repas. En voici quelques exemples : pain en tranche, pita, bagel, tortillas, pâtes, pommes de terre, riz, couscous, craquelins, orge, céréales, gruau.

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